rrivés en fin de matinée, on se laisse mener par le tracé des rues peu animées en ces heures chaudes. On musarde d’un coin d’ombre à un autre. L’endroit est paisible.
Il y a peu de véhicules. Les quelques habitants qui se déplacent ont cette nonchalance que l’on envie aux Africains.
Ici tout semble s’écouler: le temps, les ombres et quelques silhouettes lassives qui épousent qui, un siège, qui un trottoir. Les chèvres et les moutons s’alignent le long des maisons pour échapper aux rayons du soleil qui embrasent l’air.
e vieilles habitations coloniales exhibent leurs balcons de fer forgé. Les marchandises de quelques boutiques débordent sur les trottoirs. Les commerçants qui ont affronté la chaleur s’attardent à proposer des articles parmi les plus étonnants.
L’un d’eux, déballe un lot de cartes postales belges avec des timbres pré-imprimés datant des années 60. On peut se demander comment ces cartes ont atterri ici ?
Quoi qu’en parlant d’atterrissage… Il y a peut-être un lien.
Saint-Louis du Sénégal fut, aux temps des colonies, une escale pour l’aéropostale.
La ville vit encore du souvenir des exploits de Mermoz qui avait sa chambre attitrée à l’hôtel de la poste.
http://www.hoteldelapostesaintlouis.com/
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Saint-Louis du Sénégal. Vers les quais -
Le Bou el Mogdad ancré à Saint-Louis. Ce navire effectue des croisières sur le fleuve Sénégal. -
Le Bou el Mogdad ancré à Saint-Louis. -
L’hôtel de la poste. C’est ici que Mermoz descendait lors de ses escales. -
Le bar de l’hôtel de la poste. -
Le pont Faidherbe relie l’île de N’Dar au continent. -
Le pont Faidherbe enjambe le fleuve Sénégal. -
Les marchandises de quelques boutiques débordent sur les trottoirs. -
Le cordonnier de Saint-Louis. -
Boutique à Saint-Louis. -
Menu de restaurant à Saint-Louis. -
Dibiterie et restaurant à Saint-Louis. -
Dibiterie et restaurant à Saint-Louis. -
Alimentation générale à Saint-Louis -
L’hôtel Harmattan de saint-Louis. Notre choix.
