

ualifié de « polar médiéval », le roman d’Umberto Eco, « Il nome della rosa » connu un grand succès dès sa sortie en 1980 (en italien) et en 1982 (en français).
Pour planter le décor de son récit qui se déroule en l’An de grâce 1327, l’auteur va s’inspirer de la sacra di San Michele.
Ce monastère empalé sur un piton rocheux, qui s’élève à quelque 962 mètres d’altitude, domine toute la plaine entre Sant’Ambrogio et Avigliana.
On s’y trouve à la fois en sécurité et profondément isolé du monde extérieur. Mais assez vite, on se rend compte que le lieu est un refuge oppressant. Démons grimaçants pétrifiés dans la pierre côtoient les peintures religieuses. Les murs respirent la crainte des hommes face à leur destinée mortelle.
On s’y trouve à la fois en sécurité et profondément isolé du monde extérieur. Mais assez vite, on se rend compte que le lieu est un refuge oppressant. Démons grimaçants pétrifiés dans la pierre côtoient les peintures religieuses. Les murs respirent la crainte des hommes face à leur destinée mortelle.
