Visiter le Temple de la Dent en période de Perahera permet de s’imprégner de la ferveur religieuse des Cingalais. L’endroit connaît durant ces dix jours une activité toute particulière. Les éléphants qui participent au cortège sont cantonnés dans l’enceinte du Temple. C’est ainsi que l’on peut y voir les cornacs s’afférer à la toilette des pachydermes…
Pour en savoir plus cliquez sur l’image.
Nous partons à la découverte des acteurs de cette grande féerie. Dans l’enceinte du Temple de la Dent, nous rencontrons plusieurs groupes folkloriques organisés en associations. Nous partageons quelques instants avec les danseurs de Kandy. L’un d’eux acceptera volontiers que nous photographions les étapes de son habillage. …
Pour en savoir plus cliquez sur l’image.
Nous partons à la découverte des acteurs de cette grande féerie. Dans l’enceinte du Temple de la Dent, nous rencontrons plusieurs groupes folkloriques organisés en associations. Nous partageons quelques instants avec les danseurs de Kandy. L’un d’eux acceptera volontiers que nous photographions les étapes de son habillage. Il nous confie qu’il s’agit de sa 25ème participation.
Tout le costume tient dans une petite valise ainsi que les accessoires: coiffes, bracelets, pectoral, anneaux de pieds, …
Cliquez pour agrandir
-
Coiffe du danseur de Kandy
-
Coiffe du danseur de Kandy
-
Costume du danseur de Kandy
-
Grelots enfermés dans un anneau de pied.
À l’intérieur de l’enceinte du Temple de la Dent, un petit temple hindou attire notre attention.
C’est là que se sont rassemblés plusieurs groupes de participants pour enfiler leur costume.
De jeunes danseuses mettent une dernière touche à leur tenue tandis que les cadets se font aider par leurs parents. Avant de serrer une longue bande de tissu rouge autour de la taille, les jeunes gens fléchissent les jambes afin de tendre le costume, car une fois emmailloté il faudra encore pouvoir danser.
Une dernière retouche au turban et on peut passer à la séance de maquillage. Tout se déroule dans le calme, sans énervement. Chacun sait ce qu’il a à faire. C’est de l’application de chacun que dépend la réussite de la Perahera.
Dans les jardins du Temple de la Dent, nous faisons connaissance avec d’autres participants: les porteurs de flambeaux et ceux qui manient les cercles de feu.
Le matériel est vérifié et de nouvelles torches sont confectionnées. Des bandes de tissus sont imbibées d’un produit inflammable et enroulées les cerceaux métalliques.