Visiter le Temple de la Dent en période de Perahera permet de s’imprégner de la ferveur religieuse des Cingalais. L’endroit connaît durant ces dix jours une activité toute particulière. Les éléphants qui participent au cortège sont cantonnés dans l’enceinte du Temple. C’est ainsi que l’on peut y voir les cornacs s’afférer à la toilette des pachydermes…
Nous partons à la découverte des acteurs de cette grande féerie. Dans l’enceinte du Temple de la Dent, nous rencontrons plusieurs groupes folkloriques organisés en associations. Nous partageons quelques instants avec les danseurs de Kandy. L’un d’eux acceptera volontiers que nous photographions les étapes de son habillage. …
L’entretien et le toilettage des éléphants. Rencontre des cornacs dans l’enceinte du Temple de la Dent. Les éléphants à la fontaine. L’habillage de l’éléphant qui porte la relique sacrée.
La Perahera, peut-être la procession la plus féerique d’Asie. Dix jours de festivités et de ferveurs religieuses concentrées dans la ville de Kandy où est conservé l’une des reliques les plus précieuses du monde bouddhiste: une dent de Bouddha.
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Visiter le Temple de la Dent en période de Perahera permet de s’imprégner de la ferveur religieuse des Cingalais. L’endroit connaît durant ces dix jours une activité toute particulière. Les éléphants qui participent au cortège sont cantonnés dans l’enceinte du Temple. C’est ainsi que l’on peut y voir les cornacs s’afférer à la toilette des pachydermes…
Pour atteindre le Temple nous empruntons des trottoirs encombrés de marchands et de menuisiers qui montent les estrades qui accueilleront le public. Le Temple de la Dent renferme une relique: une dent qui aurait appartenu au Bouddha. L’entrée dans l’enceinte du Temple est gratuite, mais les visiteurs doivent se soumettre à la fouille des sacs. Par contre, pour accéder à l’intérieur de l’édifice il faut s’acquitter d’une entrée de 1000 Rs par personne. Considéré comme lieu sacré par les Bouddhistes, il est impérieux d’avoir les épaules et les jambes couvertes. Shorts et maillots de corps ne sont pas autorisés. Cela donne quelques scènes cocasses, lorsque des touristes imprévoyants complètent leur tenue à l’aide d’accessoires mis à leur disposition. Dans le même état d’esprit, il faut se déchausser comme dans tout temple bouddhiste. La visite s’effectue donc pieds nus.
Nous montons un escalier qui nous mène devant une entrée sculptée dans la pierre. Un petit couloir très coloré débouche sur un temple en bois qui s’élève au centre d’une cour. C’est au premier étage que les fidèles déposent leurs offrandes. Faisant face à une porte ouvragée derrière laquelle repose la relique de la Dent, une table d’offrandes se couvre de fleurs. On ne perçoit pas le reliquaire en forme de dagoba qui renferme la dent du Bouddha, mais on peut en voir une photo sur des écrans de télé. A certaines heures, la porte qui protège l’endroit le plus sacré du Temple, s’ouvre pour laisser apparaître le reliquaire.
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Le Temple de la Dent à Kandy.
Pèlerins se dirigeant vers le Temple de la Dent à Kandy.
Des touristes imprévoyants complètent leur tenue à l’aide d’accessoires mis à leur disposition.
Une grande porte sculptée dans la pierre marque l’entrée du Temple de la Dent.
Couloir d’entrée du Temple de la Dent.
Le couloir menant au Temple est décoré de motifs floraux et personnages apportant des offrandes au Temple.
Certains plafonds sont très ouvragés. Si les motifs floraux dominent, ils entourent parfois quelques représentations animales.
Porte donnant accès à la partie la plus sacrée du Temple qui renferme la relique de la Dent de Bouddha.
Véro photographie un groupe d’étudiantes.
Etudiantes au Temple de la Dent.
Etudiantes au Temple de la Dent
Etudiantes devant la porte qui donne accès à la relique de la Dent de Bouddha.
Etudiantes devant la porte de la relique.
Offrandes des fidèles.
Offrandes des fidèles.
Les fleurs de lotus s’entassent sur la table aux offrandes.