
Les collections du musée Guimet proposent un large éventail d’objets: sculptures (terre cuite, pierre, bronze et bois), peintures, textiles, masques, céramiques, bijoux et mobilier. Les oeuvres exposées proviennent d’un vaste champ de fouilles qui comprend l’Asie du Sud-est, l’Asie Centrale, le Japon, la Corée, l’Inde, la Chine, l’Afghanistan, le Pakistan et la région himalayenne. Nous en présentons ici une petite sélection. Pour plus d’informations, consultez le « website » du musée Guimet.
-
Royaume Champa Devatâ / Sculpture du Xème siècle /Vietnam (Champa)
-
Royaume du Champa Adorateur brahmanique / Sculpture du XIIIème siècle.
-
Royaume du Champa Dragon-Makara / Sculpture approx. entre 1180 et 1220. Vietnam (Champa)
-
Royaume Champa Etui couvre linga, en argent. Champa (Vietnam) VIIIe siècle.
-
Vishnu chevanchant Garuda Art Cham (VIIIe – IXe siècle) Grès
-
Asura Les asuras sont des esprits démoniaques.
-
Dvarapala ( Gardien de temple) Style du Bayon Matériaux : Grès vers 1200 – Preah Khan (Cambodge)
-
Bouddha vers 1200 Envoi de l’Ecole Française d’Extrême-Orient en 1931. Style du Bayon. Grès.
-
Apsaras Les Apsaras sont des êtres célestes d’une grande beauté, voués à la danse
-
Brahmà Madhya Pradesh région de Gwalior(?) XIe – XIIe siècle Schiste bleuté
-
Bhairava Bhairava est le nom du dieu hindou Shiva sous sa forme terrifiante, qui porte alors le crâne de Brahma.
-
Bouddha thaïlandais Sculpture en bronze(Tête) / Art d’Ayutthaya Environ le XVème siècle Thaïlande
-
Buste féminin Inde, Madhya Pradesh ou Râjasthân ( Xe – XIe sciècle )
-
Pique à éléphant utilisée par le cornac
-
Kali Forme terrible de la déesse. Tamil Nadu XIVe-XVe siècle Basalte


e souverain Jayavarman VII (Jayavarman signifie « le protégé de la victoire ».
Ce nom est porté par de nombreux rois khmers).
Ses lèvres affichent le célèbre « sourire d’Angkor ».
Le règne de Jayavarman VII fait suite à une période de troubles s’achevant en 1177 par la prise d’Angkor par les Chams.
Le souverain adopte le bouddhisme mahâyâna comme religion d’Etat.
L’art devient ainsi le vecteur d’un bouddhisme proprement cambodgien dans lequel le roi incarne la plus exemplaire dévotion.
Le visage inspire la paix intérieure.